Ndamvout. Yaoundé. 1955. C’est encore la brousse, dans cette partie marécageuse de « la ville aux sept collines » par endroits. Pourtant, c’est dans ce village que va s’installer l’usine des Brasseries du Cameroun. Au départ, le premier site couvrait deux chaînes d’embouteillage.

C’est l’époque des semi-remorques attelables qui transportaient les boissons pour les déposer d’un point à un autre. Vers la fin des années 70, le centre de production est scindé en deux sites situés de part et d’autre de la route. La bière est fabriquée d’un côté de la route et embouteillée de l’autre côté.

Les chaînes d’embouteillage se multiplient à grande vitesse.  Depuis 2014, l’exploitation industrielle de Yaoundé compte six chaînes d’embouteillage (4 pour le verre et 2 pour les bouteilles plastique).

Les Brasseries du Cameroun ont accompagné le développement à Ndamvout, par la construction d’infrastructures pour la préservation de l’environnement.

L’usine de Yaoundé dispose de sept chaînes d’embouteillage :

• deux chaînes bière de 45 000 bouteilles/heure chacune
• une chaîne boissons gazeuses de 30 000 bouteilles/heure
• une chaîne boissons gazeuses en PET de 9 000 bouteilles/heure
• une chaîne boissons gazeuses en PET de 28 000 bouteilles/heure
• une chaîne mixte, d’une capacité de production de 45 000 bouteilles/heure.
• une chaîne pour le soutirage des fûts de bière à pression

En 2017, l’usine de Yaoundé a produit 1 794 028 hectolitres de bière, 1 210 555 hectolitres de boissons gazeuses et  132 449 hectolitres d'alcools-mix.